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Yaaba

Idrissa Ouedraogo, Burkina Faso, 1989

« Quels que soient l'intérêt et l'importance symbolique du propos de Ouedraogo, c'est surtout du discours cinématographique que Yaaba tire sa force, sa beauté, sa magie et sa séduction. Le réalisateur se maintient sans cesse sur une ligne droite où s'équilibrent la fascination du conte, voire du mythe, et un réalisme d'ordre quasi ethnologique. Et si l'on a pu évoquer, à juste titre, aussi bien Renoir que Rossellini, on pourrait aussi bien citer Lumière. L'écriture de Ouedraogo propose une admirable réflexion sur le cinéma telle que seul un cinéaste du tiers-monde, particulièrement africain, sans tradition cinématographique paralysante, peut aujourd'hui la tenir sans sombrer dans l'hypocrisie d'une innocence simulée ». Joël Magny
« Quels que soient l'intérêt et l'importance symbolique du propos de Ouedraogo, c'est surtout du discours cinématographique que Yaaba tire sa force, sa beauté, sa magie et sa séduction. Le réalisateur se maintient sans cesse sur une ligne droite où s'équilibrent la fascination du conte, voire du mythe, et un réalisme d'ordre quasi ethnologique. Et si l'on a pu évoquer, à juste titre, aussi bien Renoir que Rossellini, on pourrait aussi bien citer Lumière. L'écriture de Ouedraogo propose une admirable réflexion sur le cinéma telle que seul un cinéaste du tiers-monde, particulièrement africain, sans tradition cinématographique paralysante, peut aujourd'hui la tenir sans sombrer dans l'hypocrisie d'une innocence simulée ». Joël Magny
Durée
86 minutes
Langue
VO Mòoré
Sous-titres
allemand, français, anglais, italien, espagnol
Qualité
1080p
Recommandation d'âge
12+
Disponibilité
Mondial
Bonus
Court métrage Parlons grand-mère (34 Min.)
Moi et mon blanc (2004)
S. Pierre Yameogo
Burkina Faso
92′
Mamadi en informe son collègue Franck et ils décident de conserver leur découverte. Poursuivis par les dealers, ils se réfugient chez les parents de Franck, où Mamadi découvre la vie des familles de banlieue, mais sont rapidement obligés de quitter le pays pour Ouagadougou. C'est au tour de Franck de faire l'apprentissage d'une autre culture. Tombé amoureux d'une belle prostituée, il décide, après maintes péripéties, d'ouvrir un vidéo-club, tandis que Mamadi, brillant diplômé, se trouve désormais confronté aux traditions familiales et à la lourdeur de l'administration moderne de son pays. Moi et mon blanc est un film d'aventure, une comédie dramatique contemporaine. Mamadi prépare une thèse de doctorat à Paris. Depuis plusieurs mois, il ne reçoit plus la bourse que son pays lui octroie et ne peut payer son loyer. Afin de survivre, il est obligé de travailler clandestinement comme gardien de nuit dans un parking. Grâce au système de télésurveillance, il découvre l'univers du parking, fait de prostitution et de trafic de drogue. Un soir, Mamadi déclenche involontairement l'alarme et aperçoit, dans la panique qui s'ensuit, deux dealers en train de camoufler un paquet avant de s'enfuir. Le colis renferme de la drogue et une forte somme d'argent.
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Delwende (2005)
S. Pierre Yameogo
Burkina Faso
86′
Au Burkina Faso, les coutumes ancestrales font souvent force de loi, dans un état confronté à la misère et au poids des traditions. Dans les campagnes, en effet certaines morts inexpliquées sont attribuées à des mangeuses d'âmes, c'est-à-dire des femmes qui en raison de leurs pouvoirs occultes et maléfiques sont selon les villageois responsables de ces disparitions. Ces femmes sont alors marginalisées et deviennent les boucs émissaires de toute une société.
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